Pour le journal, j’avais expliqué en présentant ce projet qu’il serait leur journal, qu’il devait être le reflet de ce qu’ils sont en tant qu’individu, mais aussi en tant que qroupe […]

Ils ont d’abord été effrayés par le projet (bien qu’ils aient déjà un certain niveau de langue : A2/B1). Ils pensaient qu’ils n’en étaient pas capables, cela leur paraissait très ambitieux. Il a été nécessaire de les rassurer sur l’attendu […] Tout le monde peut participer. Quel que soit le niveau, chacun produit ce qu’il peut […]

Puis, ils ont été séduits par l’idée de parler de leur pays, ils étaient intéressés par la thématique et se sont très vite enthousiasmés. Sur la fin, une certaine tension montait (rush de fin), ils voulaient finir et finir bien, contents et anxieux à la fois de comment serait perçu leur journal.

Nous avons imprimé, ils ont assemblé le journal. Le premier numéro a donné lieu à des rires, des applaudissements, des congratulations…. (très touchant pour la formatrice, qui les a bien sûr félicités !)